Consultation pour
les programmes de langues vivantes
pour les classes de Première des séries générales
et technologiques
(LV1, LV2 et LV 3)
Sur le site Eduscol : http://www.eduscol.education.fr
(cliquez sur "Langues vivantes au lycée", au milieu de la
page)
- À la suite de la consultation des enseignants sur les programmes
de la classe de seconde générale et technologique organisée
en 2002 à la même époque, une consultation est organisée
dans les académies jusqu'au 16 mai 2003 (date limite de l'envoi d'une
synthèse académique à la direction de l'Enseignement
scolaire).
- L'organisation de cette consultation est confiée aux recteurs. Son
principe est présenté dans la note du 12 octobre 2000 parue
au BO n°37 du 19 octobre 2000. Parallèlement au dispositif mis
en place dans votre académie par les IA-IPR, vous pouvez vous exprimer
directement sur ÉduSCOL.
- Un projet, éventuellement amendé par le groupe d'experts en
fonction des avis exprimés par les enseignants, sera alors présenté
au Conseil national des programmes et au Conseil supérieur de l'éducation.
Pour l'italien, 7 pages au format PDF (acrobat
reader) :
http://www.eduscol.education.fr/D0014/lycee_italien.pdf
Hors série
n°7 du 3 octobre 2002
Italien LV1-2-3
5 pages au format PDF (acrobat reader)
http://www.education.gouv.fr/bo/2002/hs7/default.htm
PRÉPARATION DE LA RENTRÉE
2002
DANS LES LYCÉES D'ENSEIGNEMENT GÉNÉRAL ET TECHNOLOGIQUE
(je ne copie ici que quelques extraits pour les langues ; il y a bien d'autres
choses : TPE en Terminale...)
2 - Les classes de première d'adaptation STT
La disposition dérogatoire donnant la possibilité aux candidats au baccalauréat de la série STT issus de lycées professionnels, de remplacer l'épreuve de langue vivante 2 obligatoire par une épreuve de langue vivante 1 renforcée, est prorogée au moins pour une année scolaire. Cette prorogation répond au souci de ne pas pénaliser les élèves n'ayant pas pu suivre de langue vivante 2 dans le cadre de leur formation au BEP.
C - DISPOSITIONS COMMUNES AUX VOIES GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE
1 - Langues vivantes : améliorer les conditions d'enseignement pour amener les élèves à la maîtrise d'au moins deux langues à l'issue du lycée
Assurer les dédoublements de classe prévus dans les textes
dans les meilleures conditions
La réforme des lycées a introduit pour la première fois
de manière systématique un horaire en classe dédoublée
en langues vivantes 1 et 2 en seconde générale et technologique
et en première et terminale des séries générales
(cf. arrêtés du 19 juin 2000, B.O. n° 29 du 27 juillet 2000).
Cette mesure vise avant tout à renforcer les compétences de
communication des élèves en améliorant les conditions
d'enseignement et en permettant un travail plus approfondi et plus individualisé
avec les élèves.
Aussi, convient-il de veiller à ce que les dédoublements s'effectuent
au profit de groupes à effectifs suffisamment réduits.
L'organisation des dédoublements dans les meilleures conditions pour
les élèves ne doit cependant pas se traduire par une rigidité
excessive dans l'organisation des groupes de langues : la possibilité
doit être laissée aux chefs d'établissement, en concertation
avec les équipes pédagogiques et en fonction des effectifs de
chaque langue, de disposer d'une certaine marge de manœuvre dans
ce domaine. La répartition de l'enveloppe horaire globale consacrée
aux langues à chaque niveau de classe (calculée
sur la base de l'horaire-professeur actuel) pourra être modulée
: ceci pourra se traduire soit par l'application intégrale des dédoublements
prévus, soit par une répartition différente entre enseignements
en classe entière et enseignements en classe dédoublée,
soit le cas échéant, par le retour à un horaire en classe
entière.
Poursuivre l'expérimentation sur de nouveaux modes d'organisation de
l'enseignement des langues vivantes en lycée
Comme le prévoit la note de service n° 2001-158 du 24 août
2001 (B.O. n° 31 du 30 août 2001), une expérimentation de
nouveaux modes d'organisation de l'enseignement des langues vivantes en lycée
reposant sur une utilisation souple de l'enveloppe horaire globale, est engagée
dans un certain nombre d'établissements depuis la rentrée 2001.
Cette expérimentation vise à faire évoluer les modalités
d'organisation actuelles qui, de fait, induisent une grande rigidité
dans la gestion des groupes d'élèves et une hiérarchie
entre les langues, sans prise en compte des niveaux de compétence des
élèves. Il s'agit essentiellement de :
- rechercher une plus grande homogénéité des niveaux
de compétence dans chaque groupe de langue avec des effectifs qui ne
devraient pas dépasser 30 élèves ;
- tendre à un rapprochement progressif des niveaux de compétence
dans les deux langues dont les élèves ont engagé l'étude
avant d'arriver au lycée.
Les équipes engagées cette année dans l'expérimentation
se sont investies dans une démarche consistant à supprimer la
différenciation LV1- LV2 et à regrouper les élèves
en fonction de leur niveau de compétence dans les domaines de l'expression
et de la compréhension orale et écrite .
L'expérimentation que la note de service n° 2001-158 prévoit
de conduire pendant deux ans, sera ainsi étendue sur ces mêmes
bases, à un plus grand nombre d'établissements à la rentrée
2002.
2 - L'ouverture internationale
L'importance croissante des enjeux internationaux, et plus particulièrement
européens, impose à notre système éducatif de
renforcer sa dimension d'ouverture internationale et de se doter d'une véritable
stratégie en la matière.
L'ouverture à l'international des établissements, en permettant
aux élèves de découvrir d'autres cultures, de prendre
une distance plus critique par rapport à leurs propres systèmes
de références culturelles, historiques et linguistiques, constitue
une chance pour l'extension de leur compétence linguistique et interculturelle.
C'est pourquoi, tout projet d'établissement doit désormais comporter
un volet international axé sur le développement des activités
dans les langues étrangères et des échanges internationaux.
Une attention toute particulière sera accordée aux initiatives
visant à favoriser, sur la base de partenariats avec des établissements
étrangers, la mobilité des élèves et celle des
enseignants (de langues vivantes mais aussi d'autres disciplines).
Des correspondants de bassin pour la coopération internationale ont
été mis en place de manière expérimentale, à
partir de la rentrée 2001. Leur action doit contribuer à la
cohérence d'ensemble de l'action internationale de l'académie
par l'accompagnement et la mise en synergie des actions engagées aux
différents niveaux. La note du 3 décembre 2001, adressée
aux rectrices et aux recteurs sur l'ouverture internationale des académies
et le rôle des DARIC (délégués académiques
aux relations internationales et
à la coopération) et des correspondants de bassin pour la coopération
internationale définit le cadre de leur intervention.
Des outils mis à la disposition des équipes éducatives,
en facilitant l'accès aux informations utiles dans la conception des
différents projets, doivent également contribuer à l'accompagnement
des actions de coopération internationale des établissements.
Un portail des aides et programmes d'ouverture à l'international est
ainsi accessible sur l'intranet du ministère de l'éducation
nationale, www.pleiade.education.fr (chemin d'accès direct : http://www.pleiade.education.fr/direc/dric/public/guide/index),
et
une rubrique sur ÉduSCOL, http://www.eduscol.education.fr, "Une
école ouverte sur l'Europe et sur le monde", donne un certain
nombre d'informations pour la constitution de projets à l'international.
La
consultation sur les programmes de langues vivantes étrangères
Format Acrobat Reader
Section européennes
Mise en place de sections européennes
dans les établissements du second degré.
Circulaire n°92-234 du 19 aout
1992
BO n° 33 du 3 septembre 1992
Rectificatif à la circulaire n°92-234
BO n° 36 du 24 septembre 1992
Attribution de l'indication "section
européenne" ou section orientale sur les diplômes du baccalauréat
général et du baccalauréat technologique.
Arrêté du 22 juin 1994
BO n° 29 du 21 juillet 1994
Evaluation spécifique organisée
pour les candidats aux baccalauréats général et technologique
dans les scetions européennes ou de langues orientales
Note de service n°94-260 du 2 novembre 1994
BO n° 41 du 10 novembre 1994
Les sections européennes
BO n° 3 du 20 janvier 2000